J’ai toujours eu un rapport
étrange avec le groupe Belle and Sébastian, déjà le nom, (choisir le nom d’un
roman des années 60 de Cécile Aubry, quelle idée !), puis ce consensus
autour d’eux, tout le monde les adorait et voyaient en eux les futurs grandes
stars de la pop. On a vu tellement de types se retrouvaient dans la même
position que je fais plutôt attention à ce genre d’affirmations. Un jour d’été,
j’ai essayé et je me suis lancé à la découverte des Écossais ! Ce fût une révélation :
ces types savaient écrire et interpréter des chansons. Un moment magique plein
de mélodies, de magnifiques interprétations et d’une qualité d’écriture rare aussi
personnelle que splendide !
Janvier 2015, à un moment où la
violence et la bêtise sont en train de tout ravager le collectif Ecossais sort
son huitième album et croyez moi, cela fait du bien ! Ce groupe est grand,
ou plutôt son leader Stuart Murdoch est grand. A l’écoute du disque on sent
parfaitement son amour pour les mélodies, son sens inné des arrangements et sa
volonté de créer cette atmosphère si particulière que seuls les groupes
Ecossais savent créer. Un moment de poésie rare dans un monde musical qui manque,
trop, souvent de subtilité.
Un grand disque, un grand groupe,
un grand auteur … Bienvenue dans le monde merveilleux de Belle and Sebastian et
moi à leur prochain passage à Paris je serai surement au premier plan.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire